
Cette semaine une membre de mon groupe a fait un post qui parlait du manque de produits lorsqu’un spécial est en circulaire mais n’est pas sur les tablettes au Maxi de sa région.
Malheureusement j’ai eu plein de commentaires qui allaient dans le même sens…
J’ai déjà parlé à différentes bannières lorsque les aubaines n’étaient pas disponibles lors de ventes et on me dit toujours »que la demande a été plus forte que prévue pour cette aubaine »…
J’avoue que des fois je n’y crois pas… Alors je me suis mise en mode solution! Qu’est-ce que l’on fait ?
On chiale souvent contre nos gouvernements mais pour une fois je dois vous confirmer qu’être québécois a ses avantages. L’Office de la Protection du consommateur (OPC) est notre chien de garde contre les abus qui touchent notre portefeuille. Voici donc les étapes à suivre si vous considérez que votre commerçant ne rempli pas ses obligations face à la loi 231.
- Appeler l’OPC pour faire une plainte. Oui, ça peut prendre quelques minutes d’attente, mais ayez en main une liste des problèmes que vous avez à répétition avec le magasin. Si l’OPC reçoit assez de plaintes sur un commerçant, elle va s’occuper de faire appliquer la loi.
- Option : si vous le désirez vous pouvez envoyer une mise en demeure au magasin. Cela peut impliquer que vous irez en cours ou qu’ils règleront sans avoir à aller en cours.
Le commerçant peut vous offrir un autre produit qui est équivalent. Mais on s’entend que si on veut des pêches de l’Ontario et qu’on nous offre celles du Mexique cela ne peut pas nous convenir.
Un bon différé n’est pas dans la loi donc c’est le commerçant qui décide d’en offrir OU qui inscrit le nombre maximum de produits que l’on peut acheter avec le bon. Ce qui peut ne pas convenir à tout le monde.
Je sais très bien que le nombre fait la force OnMagasine me l’a prouvé souvent. Alors prenez le temps pour que les entreprises sachent que nous avons notre mot à dire !
Écrivez-moi dans les commentaires vos expériences.